Arrivé devant l’entrée de Gobelinville, je suis surpris par l’habileté des habitants des lieux à dissimuler leur communauté. C’est avec la plus grande prudence que je m’aventure dans les lieux et me faufile dans l’ombre, sans me faire remarquer des gardes. Évitant les patrouilles, j’explore longuement les différentes galeries, découvrant ici ou là… des boutons de gilet perdus ?
Le maître des lieux et son animal de compagnie ne sont pas des plus hospitaliers !
Me perdant dans les nombreux tours, détours, étages et souterrains, j’arrive par hasard sur les berges d’un petit lac…
Là encore, les habitants ne semblent guère heureux de la présence…
Visiblement, quelqu’un a habité ici, comme en témoigne ce petit campement jonché d’arêtes de poisson et d’os aux origines qu’il vaut mieux ignorer…
Y aurait-il un rapport avec cette étrange peinture murale, découverte sur la paroi d’un couloir, et qui semble tant effrayer les gobelins, tout en me paraissant étrangement familière ?
Après de nombreux errements, j’arrive vers ce qui me semble être une sortie, mais elle est définitivement murée…
Erreur ! Par contre, il me faudra un peu de temps pour trouver le mécanisme qui permet de sortir…
C’est ici que s’arrête la piste de Bilbo, car au loin se situe la forêt de GrandPeur et au delà, bien plus loin encore, la Montagne Solitaire… mais ceci est une autre histoire !
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